La Commission européenne a proposé, le 14 février, d’interdire les moteurs thermiques pour les autobus neufs dès 2030, et pour les cars et camions (sauf exceptions) dès 2040.
Dans ce contexte, comment permettre au BioGNV, première alternative au gazole choisie par les transporteurs et les collectivités, de conserver une vraie place dans le mix énergétique ?
Alors que Parlement et Conseil Européens doivent se prononcer en 2023, L’heure est à la mobilisation pour les acteurs français du transport lourd.
Ce sont à la fois l’avenir économique du secteur et sa trajectoire de décarbonation qui sont en jeu.