« Même la cyberdéfense la plus courageuse connaîtra la défaite si ses faiblesses sont négligées. » Cette citation que nous devons à Stéphane Nappo, Global Chief Information Security Officer du groupe SEB, illustre à elle seule la lutte contre la cybercriminalité auxquelles toutes les entreprises adhèrent aujourd’hui.
Il s’agit d’un travail permanent de recherche et de renforcement de ses vulnérabilités. Or, les conséquences de la crise sanitaire remettent en question la manière d’appréhender la cybersécurité et notamment de protéger les terminaux des collaborateurs au niveau matériel. La « hardware security », longtemps délaissée au profit de surcouches logicielles, est désormais l’une des « faiblesses » que les entreprises ne doivent plus « négliger. » Comment les cybercriminels exploitent ces vulnérabilités matérielles de nos terminaux ? Comment une gestion « full stack » de la cybersécurité peut être porteuse de gains de performances pour les entreprises ? Comment les constructeurs du marché pensent la sécurité matérielle de nos nouveaux devices en phase avec une stratégie « zero trust » ?