Ou comment rendre moins aléatoire l’engagement  au travail des collaborateurs ?

Quand les murs d’une organisation résonnent des phrases « ça n’avance plus », « On ne sait plus où on va » ou « ça part dans tous les sens », le déficit de sens, donc de direction, n’est pas loin. Dans ce contexte, les risques de désengagement du travail, de résistance au changement et d’indifférence stratégique s’accroissent.

L’enjeu du management est de les éviter car sans engagement des collaborateurs toute performance devient aléatoire.

Le problème est sans doute plus fort aujourd’hui car les attentes en termes de sens sont explicites et démultipliées. Les générations actuelles en font une revendication à laquelle les organisations devront répondre pour les attirer et les garder Mais comment faire ? Comment donner du sens au travail ? Le modèle de l’effissens est une réponse opérationnelle à ces problématiques managériales.

Ce néologisme imaginé en 1993 par Karim Benameur, contracte les quêtes d’efficience et de sens en un seul modèle de performance.

Le principaux thèmes abordés

• Le sens, essence du moteur humain
• Donner du sens, comment faire ?
• Les limites du management par le sens
• De l’efficacité à l’effissens

Karim Benameur est professeur à GEM. Ses domaines d’expertises sont le management de la performance par le sens et le management de la diversité. En partant du principe que le sens est l’essence de l’homme, il a développé un nouveau modèle de performance, l’effissens. Depuis 2005, plus de 2000 managers et près de 200 directions d’entreprise et d’administration ont fait appel à ses services. Le courant de l’agilité managériale ayant adopté l’effissens comme premier principe, il a co-écrit le chapitre « Efficacité vs effissens » dans L’entreprise agile (Dunod, 2010).