À mesure que l'intelligence artificielle générative redéfinit les contours du travail, elle bouleverse aussi la manière dont les compétences sont évaluées.

Entre inquiétude face à la facilité accrue de la triche et enthousiasme pour de nouvelles manières d'appréhender l'expertise professionnelle, une question cruciale se pose : Qu'évalue-t-on réellement à l'ère de l'IA ?

Pour en débattre :

• Marc, président d'Isograd, soutient que la maîtrise préalable des compétences (les bases !) techniques fondamentales reste indispensable : l'IA, aussi performante soit-elle, ne suffit pas à remplacer l'expertise véritable, particulièrement dans des tâches complexes et sous contraintes temporelles.
• Guillaume, président de La Super Agence, défend une vision transformative où l'IA modifiera à court terme et de façon radicale les compétences attendues. Selon lui, la capacité à intégrer efficacement l'intelligence artificielle devient une compétence à part entière (c’est la base !), nécessitant une évolution profonde des modes d'évaluation traditionnels.