Dans un contexte particulièrement volatil, l'onde de choc de la pandémie se répercute dans de nombreux secteurs. Les industriels doivent s'orienter vers une réduction des dépenses et penser progrès, efficacité et amélioration continue en dehors de toutes possibilités d’investissements.

Dans ce contexte de préservation de la trésorerie, les stratégies d’investissement sont en effet freinées, reportées, annulées, le "zéro investissement" est devenu une contrainte centrale et une réalité de tous les jours.

Cet environnement exige de se focaliser sur les actifs existants et de passer à des investissements à minima mais à fort levier, qui produisent des résultats concrets dans les plus brefs délais.

Les données sont de plus en plus considérées comme une forme de capital, en quantité abondante et déjà disponibles sur toute la chaîne de valeur (production, qualité, R&D, supply chain…) et dont le bénéfice potentiel est dans la plupart des cas largement sous exploité.

Alors investir dans les données capteurs du terrain pour enrichir les capacités d’analyse opérationnelles et améliorer les rendements des actifs existants ? Pour réduire les irritants ?

Pour maximiser les partages de bonnes pratiques et rationaliser les organisations ?

Les données …peut être un début de solution….