La réforme du 30 avril 2025 marque une potentielle révolution de l’action de groupe, et notamment en droit social : les syndicats peuvent désormais engager une action de groupe, et ce sans recevoir de mandat individuel.
Cette action peut viser la cessation de pratiques illicites et/ou la réparation d’un préjudice pour un grand nombre de salariés.
Avec cette réforme, c’est une lame de fond qui se prépare à déferler sur les juridictions du travail française, et il convient de bien l’appréhender.